Hier journée farniente : piscine, lecture, ping pong dans notre agréable camping à moitié rempli.
Demain 60km en direction de Pont de Monvert avec un col au programme.
Famille en "camping-bike" à travers l'Europe
Hier journée farniente : piscine, lecture, ping pong dans notre agréable camping à moitié rempli.
Demain 60km en direction de Pont de Monvert avec un col au programme.
Ce matin nous sommes au pied du mur. Devant nous, 20 km et 1000 m d’ascension. Deux groupes se forment : papa et Florian / maman et Damien. L’allure est naturelle pour chacun. On monte à 10 km/h environ. La montée est bien revêtue, agréable, régulière. Très beaux points de vue. Nous sommes à 12h30 au col du Minier, altitude 1267 m.
Nous y pique-niquons pour retrouver des forces !
Nous nous étions regroupés à la faveur d’un belvédère à 5 km du sommet et les enfants gagnent le sprint du meilleur grimpeur ! La descente est douce. Nous rejoignons la rivière Dourbie et prenons un café à la ville du même nom. Les enfants ne sont pas fatigués et font la course dans la descente en essayant de semer papa. Heureusement qu’il sait prendre les virages plus vite qu’eux car il faut s’accrocher !
Dans la descente toujours des vues magnifiques sur les gorges de La Dourbie et plus loin de la Jonte.
A l’arrivée, vers 15 h 30 au camping de St Jean du Bruel, installation – piscine – glace – douche. Tout le monde est content de la journée.
60 km / 1200 m
Demain repos !
Cette nuit et ce matin jusque vers 9h nous sommes bien contents d’être hébergés en chalet car dehors ça souffle et ça pleut. Mais nous sommes bien au chaud et au sec… On se prépare à partir du camping vers 10h30 mais le plafond est bas et gris et notre voisine de chalet nous demande si on a des imper bien étanches !
En tout aujourd’hui 65km 700m de dénivelé. Peu de réseau téléphonique. Demain direction Le Vigan avec passage à la Couvertoirade, Le Caylar et le cirque de Navacelles.
Hier soir nous chargeons tous les vélos pour être prêts à partir ce matin comme prévu. Lever 5h30 il ne pleut pas. On passe une demi heure à regarder les météos qui toutes prévoient la pluie mais ne sont d’accord ni sur les horaires ni sur les quantités… alors on décide de tenter notre chance. On reveille les enfants et on part confiants à 7h. Objectif : train de 8h à Montastruc qui arrive à 9h à Castres puis 70 km à vélo jusqu’à Lacaune. On sent les premières gouttes à la gendarmerie puis on s’arrête sous un arbre sur la route de Gragnague. On a fait 2km … c’est la grosse pluie.
Tant pis pour le train, papa stoppe une rare voiture, se fait remonter à Verfeil et revient en voiture chercher toute la famille. 8 h on est de retour à la maison !
Il pleut, il pleut.
On décide d’aller en voiture jusqu’à Lacaune en début d’après-demain. Le camping nous loue un chalet pour la nuit et la voiture restera là jusqu’à notre retour dans un mois.
Arrivée à Lacaune vers 16h. Toujours de la pluie, plutôt sous forme de grosses averses. Le plafond est bas. On regarde la fin de l’étape du tour à la télé. Puis piscine couverte (jouxtant le camping et comprise dans le prix, sous les averses toujours !). On aura même trouvé 5 minutes pour tester l’espace extérieur avec toboggans, entre 2 averses. Restaurant prévu ce soir pour fêter nos 17 ans de mariage !
En espérant le retour du soleil prévu demain…
Dernières soirées sur la terrasse à préparer les parcours : un qui fait, une qui regarde et critique…plus précisément elle garde un oeil sur les km et dénivelés, et épiceries ouvertes les dimanches.
Les enfants font leur stage de préparation à la montagne comme les pros : rando et vélo, après la semaine de vélo avec Papy en prime, ils vont être affûtés et les parents risquent bien d’être à la traîne !
C’est que, cette année, ça va grimper…il fallait pas demander de la montagne à Papa!
Nuit très fraiche hier. Ciel bleu ce matin, plus couvert ensuite. Tout va bien. Sommes comme prévu chez nos amis à Vetralla, 6 ans après notre passage en 2013. Demain dernière étape.
Nous passons une très bonne nuit dans de vrais lits à l’hébergement pour pèlerins mais il faut se lever tôt : pdj 7h pour départ 8h au plus tard. Il fait frais quand nous enfourchons les vélos ce matin. En route pour une nouvelle étape bien vallonnée, dans des paysages un peu différents, un peu plus sauvages, moins carte postale permanente, que la Toscane (Nous sommes dans le Lazio maintenant). A 10h nous arrivons à Orvieto, très jolie ville mais quelle grimpette !!! (Photos). Belle vue d’en haut. Nous y passons une heure. Puis nous repartons direction Montefiascone, notre destination du jour, sans oublier de prendre un café / chocolats chauds. Il fait gris et surtout frais aujourd’hui mais nous éviterons la pluie. A Montefiascone Damien insiste pour monter jusqu’au centre ville trouver l’office du tourisme faire tamponner nos credenciales alors que notre route permet d’éviter cette grimpette supplémentaire… papa et Damien y vont tandis que maman et Florian attendent plus bas à la pâtisserie. Résultat : 4km de plus, 60m de dénivelé et office du tourisme fermé ! On aura le tampon de la pâtisserie du coup…
Salut, aujourd’hui départ de Pienza à 10h30 car nous nous sommes levés à 7h30 pour aller à l’office avec les soeurs (Une demi heure bien gratinée (1h)). Après 3/4km de descente, nous prenons une route en faux plat descendant jusqu’en bas de la grosse montée de la journée. Nous montons 6 km et nous avons déjà une vue magnifique sur Radicofani et son château (Radicofani est un petit village dans la montagne ). Après avoir achevé la montée, nous sommes à Radicofani et nous mangeons au restau car il fait froid. Après ce repas, nous allons voir l’épicerie qui devait être ouverte toute la journée mais a finalement fermé à 12h30. Heureusement qu’il y avait le restaurant ! Nous repartons sur 15km de descente et choisissons finalement de rester sur la route rouge pas très passante. Nous arrivons à Aquapendente vers 16h et nous profitons de Gelati avec supplément chantilly gratuit et cappuccino à 1€20. Le temps de tamponner nos credenciales au musée et nous repartons vers le couvent réhabilité qui sert de gîte aux pèlerins (c’est pas loin, mais ça monte !). Nous apprenons avec plaisir que nous pouvons avoir une chambre et que le repas et le pdj sont offerts. Nous profitons de la douche et sortons au jardin en attendant le repas. Au total aujourd’hui, 63 km et 800 m de dénivelée. A demain pour d’autres nouvelles !
Biz
Damien
Rude et belle journée ! La campagne toscane déroule ses collines sous nos roues. La voie de pèlerinage nous fait prendre les chemins blancs cailloutés qui évitent la circulation mais ni les pentes ni les dénivelés ! Peu importe, les yeux se régalent… Et se ferment ce soir en écrivant le compte rendu !
Nous dormons dans le jardin du couvent de Pienza où nous avons été gentiment accueillis par les sœurs bénédictines qui nous ont même permis, bonheur suprême et inespéré, de prendre une douche !! Autant vous dire que nous n’avons pas refusé ! La journée a été belle, la soirée est fraîche 10 degrés. Il fait meilleur sous la tente… aujourd’hui presque 70 km et 1100 m de dénivelé. Nous n’avons pas traîné en route car il nous fallait arriver avant 16h heure de la messe…. Et nous sommes arrivés à 15h50 !!
Ce matin je me réveille au son d’un pop pop et après recherche c’est mon matelas qui se déboutonne… en résulte une grosse hernie, mon matelas s’est transformé en ballon ! Et en plus aujourd’hui est fête nationale en Italie, tout va bien… Bon apparemment il y a sans faire un gros détour un Décathlon ouvert aujourd’hui…
On part sous un joli petit soleil qui illumine les tours de San Gimigniano. Un nouveau petit tour en ville et nous filons à travers la campagne toscane. Les jolis villages s’enchaînent. A midi les enfants font la course en rond sur leurs vélos autour de la fontaine sur la place… en début d’après midi, nous trouvons notre Décathlon et un matelas de rechange, nous sommes sauvés ! Puis passage au château de Monteriggioni, magnifique, et nous faisons un détour pour passer par le centre. Un petit coup de tampon sur nos credenciales, le plein des bidons et on repart dans les collines. Nous sommes à Sienne vers 16h30, une dernière bonne côte pour arriver au camping.
50km et finalement 700m de dénivelé, même pas peur pour les enfants! Ils font la course pour monter leur tente et améliorent leur temps d’hier : 4 minutes 30 secondes. Douche puis pizza au bar du camping sur la terrasse car il n’y avait plus de place au restaurant. Comme au Burger King de Gramont pour Damien et Véro. #vivel’italie. Demain repos visite de sienne.
Hier nous prenons le bus pour Lucques sous la pluie et elle nous accompagnera plus ou moins pendant toute la visite. Lucques est un jolie ville typiquement italienne et nous prenons plaisir à nous y promener, même en kway intégral !
Hier soirée karaoké au camping donc un peu de mal à s’endormir… ce matin il fait très doux et nous partons vers 9h45. 40km de route littorale comme on ne les aime pas avec sans discontinuer les établissements de bord de plage… les cyclistes du dimanche sont de sortie, les promeneurs aussi. Difficile de savoir s’il faut prendre la piste cyclable bien encombrée de promeneurs et vélos lents ou la route… malgré tout, c’est plat et on a le vent dans le dos. Et comme l’étape est courte nous arrivons à midi au camping de Torre Del Lago, aux portes de Pise. Nous y sommes accueillis avec beaucoup de gentillesse. Comme la météo est à la pluie pour la soirée et pour demain, nous décidons d’aller voir Pise de suite. À 13h nous repartons prendre le train (qui est à 15min à pieds) pour Pise. La tour est encore plus belle que dans nos souvenirs ! Le temps d’une bonne promenade et des gouttes nous font reprendre le chemin de la gare d’un pas rapide. Nous rentrons au camping sous la pluie et le gérant nous propose de nous installer sous un emplacement abrité ! Parfait ! En plus il y a une salle commune où manger au sec et en plus on peut se faire livrer des pizze !! Voilà de quoi nous combler….
Ce matin dimanche de Pâques nous sommes réveillés aux chants tonitruants des coqs de la ferme voisine. Le temps de mettre les boules Quies et nous finissons la nuit. Une mini chasse aux œufs avait été prévue par les parents et tire les enfants du lit ! Tout le monde est sage et se prépare gentiment. Nous avons décidé de changer de programme pour aller visiter les touristiques Cinque Terre, villages de pêcheurs typiques. Nous laissons les vélos chargés au camping et descendons à pieds prendre le train pour Monterosso. Les enfants plongent dans la mer froide Puis nous prenons le sentier pédestre (payant !!) qui nous mène à Vernazza, un très beau village. Nous ne regrettons pas cette balade. Au village, c’est la foule des touristes. Nous y pique niquons puis reprenons le train pour retourner au camping chercher nos vélos. Le temps d’une glace puis nous prenons à nouveau le train pour nous avancer jusqu’à la Spezia sur le trajet prévu pour aujourd’hui. Il ne reste que 18km jusqu’au camping de ce soir. Nous sommes à Ameglia, la météo est agréable il fait bon. Demain vélo jusqu’aux portes de Pise.
Départ depuis Marseille en bus, direction Savone. Puis le train pour Sestri Levanto. arrivée à 17h30.
Ce matin départ de chez Marie-Claire vers 7h15 direction la gare routière. Nous y emballons les sacoches dans de grands sacs poubelle pour former 4 paquets – puisque nous avons droit à 4 bagages. Les chauffeurs italiens ont eu la flemme d’accrocher le porte vélos au bus du coup nos vélos voyagent en soute. Trajet sans incident, nous sommes à l’heure à Savone. Nous remontons le tout sur nos vélos sous l’œil curieux d’une passagère qui vient nous demander si tout va tenir sur les vélos et où nous allons comme ça.
39 minutes de bonheur ici :
https://youtu.be/PYkIRCUMwWU
Nous passons une très agréable soirée dans notre charmant Camping hors du monde sans bruit sans moteur et avec le coucher du soleil. Les enfants font même un début de nuit à la belle étoile mais il fait frais et ils rentrent en milieu de nuit. Nous repartons ce matin sur la digue de l’Elbe, les couleurs sont très jolies entre le bleu du fleuve, le vert des prairies et le bleu du ciel. Le vent a tourné au sud-est et il nous pousse. Passage à Boizenburg, où l’on fait les courses pour midi. La ville est très jolie, avec ses maisons en briques rouges, son canal un peu à la Danoise. Dans l’après-midi, nous ne longeons plus l’Elbe mais nous suivons une piste cyclable le long de la route principale sur les conseils d’un groupe de cyclistes qui venait dans l’autre sens et qui nous ont déconseillé de suivre le chemin cyclable à travers la forêt le long de l’Elbe. A 2 km du camping nous faisons une pause d’une demi-heure à une superbe aire de jeux d’enfants. Rebelote à 500 m du camping. Nous arrivons finalement vers 15h30 et nous installons les tentes avant de filer piquer une tête dans l’Elbe qui borde le camping. C’est rigolo de nager dans un fleuve, c’est comme dans le Danube à Ratisbonne, et on ne voit personne nager dans la Garonne à Toulouse ! Nous avons vu les premiers panneau indiquant Hambourg, nous ne sommes plus qu’à une quarantaine de kilomètres de notre point final du voyage 2018. Demain nous rejoignons donc Hambourg, que nous visiterons brièvement avant de prendre le train de nuit pour Baden-Baden. Nous passerons la journée de vendredi chez les Gachot avant de reprendre le train samedi matin pour Toulouse. Arrivée samedi soir.
Nous sommes peu avant Geestacht. 60km aujourd’hui.
Nous passons une paisible soirée hier survolés par de nombreuses formations d’oies sauvages et même un vol de cigognes. Aujourd’hui nous repartons sur la piste cyclable de l’Elbe. Sous nos roues, la digue. À notre droite, de jolies maisons en briques dont certaines au toit de chaume. À notre gauche, l’Elbe sauvage. Le parcours est vraiment très joli. De temps à autre, un café pour cyclistes est aménagé le long de la piste. Nous en mettons un à profit pour notre pause expresso d’après le pique-nique. La gérante est vraiment charmante, le café est aménagé dans son jardin. Nous arrivons au camping en tout début d’après-midi, c’est un tout petit camping à la ferme avec tout ce qu’il faut pour les cyclistes, en bordure directe de la piste cyclable de l’Elbe. Nous pouvons même aller nous baigner dans l’Elbe sur une plage à quelques centaines de mètres du camping. Au total 55 km aujourd’hui et 30 m de dénivelé.
Demain avant dernier jour de vélo , nous continuons le long de l’Elbe vers Hambourg
Photos du jour : Baignade dans l’Elbe,
la tente installée avec en fond la piste cyclable le long de la digue, le café pour cyclistes, les paysages typiques du jour
Nous profitons des nombreux départs du dimanche qui laissent le camping quasiment vide et du très beau ciel sans aucun nuage avec des températures agréables et peu de rosée pour que les hommes passent la nuit à la belle étoile devant les tentes. Enfin à la belle étoile, c’est pour les enfants car papa ne voit rien sans ses lunettes !
Aujourd’hui 240 km mais 200 km en train. Nous partons de bonne heure sous un beau soleil pour faire les 10 kilomètres qui nous séparent de la gare. Le temps de faire les courses en route, de faire la queue au guichet pour acheter les billets de train, et il est 9h47, le train est à 9h50. Il est bien plein mais se vide au passage de Berlin. 11h57 nous arrivons à l’heure prévue à Wittenberge, notre destination. Pique-nique avec une belle aire de jeux d’enfants, quelques courses pour acheter du savon et un accumulateur de froid (le notre s’est percé), autant de choses qu’on ne trouve pas dans les grandes surfaces classiques. Car ici les magasins sont bien séparés entre grande surface alimentaire, droguerie et magasin de bricolage. Puis nous rejoignons la digue de l’Elbe et nous prenons un bon vent de face qu’on risque de garder pendant les 3 jours qui nous restent jusqu’à Hambourg. Il y a la piste cyclable gravillonnée sur la digue et une toute petite route bitumée en bas de la digue. Nous choisissons cette dernière car elle nous permet d’avancer plus facilement et d’être plus à l’abri du vent. Nous arrivons vers 15h30 au camping sous un soleil bien masqué par de gros nuages gris. Malgré tout il y a un lac et les enfants filent à l’eau.
Demain nous continuons à suivre l’Elbe pour environ 60 km.
L’architecture ici a complètement changé les maisons sont maintenant en briquettes rouges et à pans de Bois .
Hier nous étions dans un camping au sol sableux sous les pins. Dans la nuit, éclate un orage inattendu. Joie ce matin pour replier les tentes mouillées et pleines de sable ! 60 km aujourd’hui à nouveau, sur un parcours assez sauvage, qui chemine entre les étangs. Il faut dire que nous sommes à 80 mètres d’altitude environ et qu’il reste beaucoup de longueur aux fleuves pour aller se jeter dans la mer ! Du coup nous n’avons même pas 50 m de dénivelé à l’arrivée à Bestensee. Au lever le soleil brillait mais il a été rapidement masqué par de gros nuages gris. Puis l’après-midi, le ciel est devenu tout bleu et tout le monde a pu profiter de la baignade.
Demain repos.
Une nouvelle journée toute plate ! Départ selon nos habitudes, d’assez bonne heure , et un passage assez long à Cottbus pour faire les courses, et manger une pâtisserie. Nous poursuivons le chemin sur des pistes cyclables tantôt goudronnées et tantôt gravillonnées. Les petites jambes préférent le bitume, c’est bien plus facile : au passage des gravillons au bitume pour le même effort nous avons gagné 5 km heure ! Nous sommes à Briesensee au bord du lac du même nom. Il fait chaud cet après-midi et c’est un bonheur de se baigner après le vélo.
Demain nous montons encore pour arriver quasiment aux portes de Berlin à Bestensee.
65km aujourd’hui et 60m de dénivelé.
Hier nous passons l’après-midi à la plage. Nous dînons au petit restaurant du camping pour l’anniversaire de Christine. merci pour tout les messages ! Le choix des plats est quelque peu hasardeux mais finalement tout le monde est content avec son assiette assiette. pour dessert tout le monde prend des belles crêpes à la confiture avec une boule de glace au chocolat, de la chantilly et un nappage sauce au chocolat. Ce matin nous partons sous le soleil non sans avoir cherché en vain le maillot de bain de Florian qui apparemment a été oublié aux sanitaires hier soir. La route est belle, elle traverse le parc national de la Suisse tchèque. Elle est considérée comme la plus belle zone naturelle du pays. Nous sommes dans une pointe de la République tchèque et nous sommes très près de l’Allemagne. Nous passons notre dernière nuit en République tchèque dans un camping avec un bizarre petit lac artificiel de baignade genre de grande piscine. Nous sommes à Jetrichovice, nous avons fait 45 km aujourd’hui. Tout de même 500 m de dénivelé et notamment un impressionnant mur en fin de matinée. Nous profitons pour la dernière fois de la simplicité et du bas prix des campings de République tchèque. Nous payons 10 € pour nous quatre pour cette nuit ! L’orage est attendu pour la nuit, nous verrons bien.
La matinée est fraîche 10 degrés à 7h mais les températures se réchauffent rapidement sous le beau soleil. Nous suivons une petite route qui serpente en traversant de petits villages. Nous voyons de belles maisons à bardages en bois noir et blanc. En chemin nous faisons le détour pour monter jusqu’à un joli château médiéval. Les 50 km sont avalées dans la matinée malgré les 500 m de dénivelé. Nous sommes peu après midi au camping et nous avons tout l’après-midi pour la baignade dans le lac. Ici Holany trou perdu de République Tchèque.